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Trois questions à Lorenzo

temps de lecture: 2 minutes

Que penses-tu de ta désignation en tant que nouveau vice-président de la CSC-Transcom ?

Lorenzo Je suis évidemment très heureux de la confiance que m’ont accordée les militants et le Bureau National. Je suis conscient de la responsabilité qui m’incombe et j’essayerai d’y répondre au mieux. Cette désignation s’inscrit dans la continuité de l’histoire de la CSC-Transcom ; ce n’est pas une nouvelle page qui s’écrit.

En quoi es-tu la personne idéale pour succéder à Didier Smeyers ce 1er avril ?

Lorenzo La personne idéale ? Je ne sais pas. Il faut demander aux personnes qui ont voté pour moi.

Je ne vais ni succéder, ni prendre la place de Didier Smeyers. Il prend une pension bien méritée après toutes ces années où il a tenu la barre dans les bons comme les mauvais moments. En tant que vice-président, je devrai faire face à des défis différents de ceux que Didier a connus. Heureusement, j’ai eu l’occasion d’acquérir pas mal d’expérience à ses côtés.

Depuis que je travaille, j’ai toujours voulu progresser, ce qui m’a amené à me former de manière permanente. J’ai commencé comme manœuvre dans une usine de briques réfractaires et j’ai monté les échelons petit à petit, sans jamais oublier qui je suis, ni d’où je viens. Je reste humble et je sais que cette fonction me permettra d’être au service de la Centrale et des affiliés, et non pas de me servir. Comme disait mon père, plus on monte, plus il faut être conscient de sa responsabilité, car plus ça fait mal quand on tombe.

As-tu déjà des idées concrètes de ce que tu souhaites réaliser en tant que vice-président ?

Lorenzo Oui bien sûr ! Didier et moi avions préparé les chantiers pour son successeur, quel qu’il soit, avec toute la latitude possible pour les concrétiser en fonction des orientations que ce dernier aurait choisies.

Que ce soit au niveau de la communication, la présence sur le terrain et le service aux affiliés, je partagerai ces projets avec Koen, le président de la CSC-Transcom. Nous les mettrons en œuvre tous ensemble, avec les responsables généraux de secteur, les permanents et les militants.